MOOCs, entre fantasmes et réalité, quel impact sur l’éducation en Afrique ?

Selon les experts, le public des MOOCs est essentiellement constitué d’apprenants de l’enseignement supérieur, et de très peu de gens provenant d’autres horizons. En outre, malgré la progression de la pénétration d’internet, l’accès à ces modules de formation n’est pas toujours aisé en raison de difficultés relatives aux faibles capacités de débit et aux coûts des connexions, et même à la disponibilité de l’électricité, entre autres. Si on y ajoute le manque de contextualisation de l’enseignement, la barrière de la langue pour les francophones (la plupart des MOOCs sont en anglais) ou encore les frais nécessaires à l’obtention du certificat sanctionnant la fin de l’apprentissage, on se retrouve face à une solution moins flexible que celle présentée au départ.

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